Raukenblättriges Greiskraut (Senecio erucifolius)

Das Raukenblättrige Greiskraut ist nicht so bekannt, wie das Jakobs-Greiskraut (Senecio jacobaea), welches wir in unserer Serie bereits am 20. Juli vorgestellt haben. Besonders Pferdehalter*innen, die vermeintlich Jakobs-Greiskraut auf ihrer Pferdeweide finden, sollten einmal prüfen, ob es sich dabei vielleicht nicht doch um das Raukenblättrige Greiskraut handelt. In der Vorderpfalz ist dies sicherlich oft der Fall. Im Pfälzerwald wächst Senecio erucifolius hauptsächlich an Straßenrandböschungen, weniger im Grünland. Beide Arten sind aber hier weit verbreitet und stellenweise häufig. Zur Unterscheidung der beiden Arten: Das Raukenblättrige Greiskraut hat pro Blütenkörbchen 5-8  abstehende Außenhüllblätter. Das Jakobs-Greiskraut hat dagegen nur 3-5 anliegende und deutlich kürzere Außenhüllblätter. Welche der beiden Greiskraut-Arten im Pferdefutter mehr Schaden anrichtet, ist uns nicht bekannt. Die effektivste und zugleich naturverträglichste Form der Weidepflege ist die des gezielten Ausreißens der unerwünschten Pflanzen vor der Samenreife. Wo es keine Nutzungskonflikte gibt, sollte man die Greiskraut-Arten aber wachsen lassen. Zum Beispiel auch im Hausgarten. Schließlich sind sie wichtige Nahrungspflanzen für einige speziell an Senecio-Arten angepasste Insekten.
Für den Pfälzerwald kann übrigens festgestellt werden, dass die Hauptblütezeit des Raukenblättrigen Greiskrautes etwa einen Monat später beginnt als die des Jakobs-Greiskrautes!

Kanadisches Berufskraut / Vergerette du Canada (Conyza canadensis)

Gut, dass sich die Verschwörungstheoretiker heutzutage in der Mehrzahl nicht mit wildwachsenden Pflanzen beschäftigen. Früher taten sie es und suchten nach Pflanzen, die vor dem „Berufen“ durch Hexen schützen sollten. Als vermeintlich schützendes Kraut wurde wohl überwiegend das Rauhe Berufskraut (Erigeron acris) verwendet, dessen Schwesterart, den Einjährigen Feinstrahl (Erigeron annuus), wir in der Serie schon vorgestellt haben. Alles ziemlich krude Vorstellungen, besonders wenn sie heute noch in den Köpfen von Menschen spuken. Das Kanadische Berufskraut, das wir heute vorstellen, ist im Pfälzerwald ebenso häufig zu finden wie der Einjährige Feinstrahl und die Goldruten. Die Art besiedelt hier die gleichen Biotope, vor allem Acker- und Grünlandbrachen. Auch sie stammt, wie die anderen genannten, ursprünglich aus Nordamerika und wurde im 17. Jahrhundert nach Europa eingeführt. Übrigens sind ganz viele dieser irgendwann bei uns sesshaft gewordenen Nordamerikaner Spätblüher. Das ist auch der Grund dafür, dass sie in unserer Serie erst recht spät im Sommer, aber dann regelmäßig, porträtiert werden.

Vergerette du Canada (Conyza canadensis)

Quelle bonne chose qu’aujourd’hui la grande majorité des théoriciens du complot ne s’intéressent pas aux plantes sauvages. Ce n’était pas le cas dans le passé ! En effet, ceux-ci recherchaient par exemple des plantes pour se protéger contre les „appels“ des sorcières. En tant qu’herbe soi-disant « protectrice », c’est surtout la vergerette âcre (Erigeron acris) qui aurait été utilisée. Nous avons déjà eu l’occasion de vous présenter une espèce parente de celle-ci, la vergerette annuelle (Erigeron annuus).
La vergerette du Canada que nous vous présentons aujourd’hui est dans le Palatinat tout aussi présente que la vergerette annuelle ou encore les solidages. Dans la région cette espèce colonise les mêmes biotopes, en majorité des jachères et prairies. Tout comme les autres espèces nommées précédemment, elle est aussi originaire d’Amérique du Nord et a été introduite en Europe au 17e siècle. D’ailleurs, il est intéressant de noter que bon nombre de ces espèces « nord-américaines » qui ont fini par s’établir dans nos régions sont des plantes à floraison tardive. Cela explique pourquoi au cours de notre série de portraits floraux elles n’apparaissent que maintenant, à la fin de l’été … tardivement … mais plus régulièrement !

Gewöhnlicher Hornklee / Lotier corniculé (Lotus corniculatus)

Wir konnten im Verlauf des Jahres bei Weitem nicht alle uns wichtigen, aufblühenden Arten vorstellen. Von den Schmetterlingsblütlern, zu den u.a. die verschiedenen Wicken (Vicia div.) und die diversen Klee-Arten der Gattung Trifolium zählen, hätte man die eine oder andere Art gerne noch vorgestellt. Wie schön, dass einige Vertreter dieser Familie auch im Spätsommer auf unseren Wiesen nochmal stark aufblühen, nachdem sie eine Sommerpause eingelegt haben. Ein solcher Schmetterlingsblütler ist der Gemeine Hornklee (Lotus corniculatus). Charakteristisch sind die strahlend gelbe Blütenkrone und die fünfzählig gefiederten Blätter. Diese Art ist ein sogenannter Tiefwurzler. Ihre Wurzeln reichen bis zu einem Meter tief in den Boden. Damit übersteht sie die trockene Jahreszeit bestens. Im Pfälzerwald ist der Gemeine Hornklee auf vielen Wiesen und Weiden mittlerer Standorte eine der prägenden Spätsommer-Arten.
In nassen Gräben finden wir den Nächstverwandten, den Sumpf-Hornklee (Lotus pedunculatus). Dieser benötigt längere Zeit nasse Standorte und unterscheidet sich vom Gemeinen Hornklee durch seinen hohlen Stängel und nicht so satt-grüne, sondern eher bläulich-grüne Blätter.

Lotier corniculé (Lotus corniculatus)

Au vu de leur grand nombre, il ne nous a malheureusement pas été possible de vous présenter, au cours de cette année, l’ensemble des espèces de plantes à fleurs dont nous aurions aimé vous parler. Parmi les Fabacées par exemple, famille à laquelle appartiennent entre autres, les diverses espèces de Vesces (Vicia div.) ou encore les espèces de trèfles du genre Trifolium, nous aurions souhaité vous présenter encore l’une ou l’autre espèce !
Ainsi, quel bonheur pour nous de retrouver certains représentants de cette famille fleurir à nouveau sur nos prairies après des vacances d’été … C’est par exemple le cas du lotier corniculé (Lotus corniculatus), une fabacée qui se reconnaît à ses corolles jaune vif et ses feuilles composées de cinq folioles. Cette espèce possède une racine pivotante, qui lui permet d’atteindre de grandes profondeurs. Ce système racinaire permet à la plante de survivre parfaitement aux saisons sèches. Dans les prairies et les pâturages de tailles moyennes du Palatinat, le lotier corniculé se rencontre fréquemment en cette saison de fin de l’été, et en est ainsi l’une des espèces caractéristiques. Dans les fossés humides, l’on retrouve un proche parent du lotier corniculé, le trèfle des marais (Lotus pedunculatus). Ce dernier requiert sur de longues périodes un habitat humide et se distingue du lotier corniculé par sa tige creuse et ses feuilles qui sont d’un vert moins intense, et plus bleuté.

Beifuß-Ambrosie, Beifußblättriges Traubenkraut / Ambroisie à feuilles d‘armoise (Ambrosia artemisiifolia)

Die Blütezeit der Beifuß-Ambrosie beginnt im Juli, im Pfälzerwald ist mit der Hauptblütezeit je nach Witterung zwischen Mitte August und Mitte September zu rechnen. Sehr zum Leidwesen einiger Mitmenschen, die auf den hochallergenen Pollen der Pflanze reagieren. Die aus Nordamerika eingeschleppte Art sorgt aufgrund ihres allergischen Potenzials (Pollenallergie und Kontaktallergie) regelmäßig für mediales Aufsehen. Durch Melde- und Bekämpfungskampagnen soll ihre weitere Ausbreitung hierzulande gehemmt werden.
Da die Beifuß-Ambrosie über Jahrzehnte als Samen im Boden überdauern kann, wird sie oft versehentlich durch Erdmaterial verschleppt und keimt dann vor allem auf Ruderalstandorten. Auch im Gebiet des Pfälzerwaldes gibt es immer wieder Vorkommen an Straßenrändern, in Sandgruben und auf Bauplätzen sowie auf Wildäsungsflächen und Getreideäckern. Kleinere Bestände werden oft aus Privatgärten gemeldet. Hier stammen die Ambrosia-Samen vermutlich aus verunreinigtem Vogelfutter.
Eine Verwechselungsart der Beifuß-Ambrosie ist ihr Namensvetter, der Gewöhnliche Beifuß (Artemisia vulgaris). Bei kurzer Betrachtung sind die beiden Arten aber leicht voneinander zu unterscheiden: Der Beifuß ist auf der Blattunterseide weiß-filzig, während bei der Ambrosie beide Blattseiten grün sind.

Ambroisie à feuilles d‘armoise (Ambrosia artemisiifolia)

Si la période de floraison de l’ambroisie commence en juillet, c’est entre la mi-août et mi-septembre, en fonction des conditions climatiques, que s’établit la période de floraison principale de cette plante dans les forêts du Palatinat. Et ceci au grand dam de nombreuses personnes, qui réagissent fortement face au pollen hautement allergène de cette plante. Cette espèce introduite en Europe depuis l’Amérique du Nord, suscite régulièrement l’attention des médias en raison de son haut potentiel allergène (allergie au pollen et allergie au contact de la plante). Les campagnes de prévention et de lutte contre l’espèce visent à limiter ou même empêcher la propagation de l’ambroisie dans le pays.
Les graines de l’ambroisie pouvant survivre des dizaines d’années en dormance dans le sol, cette espèce est souvent accidentellement transportée avec des matériaux de construction (terre, sable…) et se retrouvent à germer principalement sur des sites rudéraux. Dans la région des forêts du Palatinat, cette espèce apparaît aussi régulièrement, que ce soit au bord des routes, dans des sablières et sur des chantiers, ainsi que dans des pâturages sauvages et des champs de céréales. Des petites populations sont souvent signalées dans des jardins privés. Les graines de l’ambroisie trouvent probablement ici leur origine dans des mélanges « contaminés » de graines pour oiseaux.
Une des espèces que l’on pourrait confondre avec l’ambroisie à feuilles d’armoise est l’armoise commune (Artemisia vulgaris). Cependant si l’on se penche de plus près sur ces deux espèces, elles ne sont pas si difficiles à différencier : la surface inférieure des feuilles de l’armoise commune est blanche et « feutrée » tandis que les deux surfaces des feuilles d’ambroisie sont vertes !

 

Gewöhnliche Goldrute / Solidage verge d’or (Solidago virgaurea)

 

Es gibt auch eine heimische Goldruten-Art, die jedoch weit weniger bekannt ist als die beiden eingeschleppten, amerikanischen Goldruten, die wir in unserer Serie bereits vorgestellt haben. Dabei ist die heimische Gewöhnliche Goldrute nicht weniger häufig und verbreitet. Auf den ersten Blick hat sie nicht viel Ähnlichkeiten mit ihren Verwandten aus Übersee. Sie wächst in der Regel nur halb so hoch auf, die Blüten sind deutlich größer, mehr als doppelt so groß, und der Blütenstand ist im Vergleich armblütiger. Auch handelt es sich beim Blütenstand nicht um eine einseitig überhängende Rispe, sondern eher um eine aufrechte, walzenförmige Traube bzw. Rispe.
Im Pfälzerwald finden wir die Gewöhnliche Goldrute vor allem im Halbschatten von Waldaußensäumen, am Rand von Feldgehölzen und auf Wiesenbrachen und extensiv genutzten Viehweiden. Da die Art mähempfindlich ist, kann sie sich in Glatthaferwiesen kaum behaupten. Nach Nutzungsaufgabe ist sie jedoch schnell zur Stelle und kann dann auch zusammen mit ihren Schwesterarten auf der gleichen Fläche aufkommen. Unser Foto zeigt im Vordergrund die Gewöhnliche Goldrute, im Hintergrund zu erkennen sind Blütenstände der Kanadischen Goldrute auf einer Wiesenbrache im Pfälzerwald.

Solidage verge d’or (Solidago virgaurea)

Il existe également des espèces de Verge d’or locales qui sont moins connues que les espèces importées d’Amérique que nous vous avons déjà présentées. Et pourtant, Le Solidage verge d’or n’est pas plus rare ou moins répandu. Au premier coup d’œil il ne ressemble pas beaucoup à son parent d’outre-mer : il n’atteint que la moitié de la hauteur de son parent, mais ses fleurs sont nettement plus grandes, plus de la moitié, et son inflorescence est, en comparaison, plus pauciflore. Concernant son inflorescence, il ne s’agit pas d’une grappe retombante vers un côté, mais plutôt d’une grappe en forme de cylindre qui pousse verticalement. Dans la forêt du Palatinat, on trouve le Solidage verge d’or surtout dans les endroits ombragés des bords de forêt, à la lisière des bosquets champêtres et sur les jachères des prés. Comme cette espèce est sensible à la fauche, elle a des difficultés à s’affirmer sur les prairies à fromental. Mais quand on cesse de cultiver ces champs, il est possible de voir le Solidage verge d’or avec ses espèces apparentées. Notre photo montre le Solidage verge d’or au premier plan et l’inflorescence de la Verge d’or du Canada à l’arrière-plan sur une jachère de pré dans la forêt du Palatinat.

Artengruppe Gewöhnlicher Frauenmantel / Alchémille commune (Alchemilla vulgaris agg.)

Es gibt zahlreiche verschiedene Frauenmantel-Arten, die ihre Entstehung vermutlich einer früheren vielfachen Bastardierung heute ausgestorbener Arten verdanken. Die im Pfälzerwald vorkommenden Sippen werden von Experten allesamt der Alchemilla-vulgaris-Artengruppe zugeordnet.
Der Gewöhnliche Frauenmantel wächst im Pfälzerwald auf frischen Talwiesen, besonders an Standorten, die durch angrenzende Wälder zeitweise beschattet sind. Wie auf dem Foto zu sehen, kann er auch nach der Juli-Mahd im August und im September nochmal aufblühen.
Die Alchemisten, die vermeintlichen Goldmacher, die es nie geschafft haben, für ihre Könige unedle Metalle in Gold zu verwandeln, sprachen der Pflanze magische Kräfte zu. Daher kommt der Name Alchemilla. Und die Blätter erinnerten die Altvorderen an Mäntel mittelalterlicher Mariendarstellungen. Daher kommt der deutsche Name.
Der Gewöhnliche Ackerfrauenmantel (Aphanes arvensis) ist eine im südlichen Pfälzerwald auf Sandäckern häufig vorkommende Art. Beide Gattungen Aphanes und Alchemilla gehören zur Familie der Rosengewächse.

Alchémille commune (Alchemilla vulgaris agg.)

Il existe beaucoup d’espèces d’Alchémille qui se sont développées grâce à l’hybridation d’espèces disparues. Celles de la forêt du Palatinat sont toutes regroupées dans le groupe d’espèces Alchemilla-vulgaris. L’Alchémille commune pousse dans la forêt du Palatinat sur les prés frais des vallées, surtout dans des endroits qui sont ombragés par la forêt. Comme on le voit sur la photo, l’Alchémille peut encore fleurir après la fauche de juillet, en août et septembre. Les alchimistes qui n’ont jamais réussit à transformer les métaux communs en or ont fait croire que l’Alchémille possèdait des pouvoirs magiques. C’est à cause de cela qu’on l’appelle Alchemilla. Ses feuilles faisaient penser nos ancêtres aux manteaux de la Vierge médiévale et lui ont donné son nom allemand « Frauenmantel » ce qui peut être traduit par « manteau de femme ».  L’Alchémille des champs (Aphanes arvensis) est une espèce que l’on trouve souvent dans les champs sablonneux de la forêt du Palatinat. Les deux genres Aphanes et Alchemilla font partie de la famille des Rosacées.

Gewöhnlicher Beifuß / Armoise commune (Artemisia vulgaris)

Der Gewöhnliche Beifuß wächst im Pfälzerwald vor allem in wegbegleitenden Säumen. Von Natur aus gäbe es die Art hier deutlich weniger, wenn die Sandwege nicht geschottert wären. Durch den Basaltschotter, der im südlichen Pfälzerwald häufig verwendet wird, werden die Nährstoffmengen erst eingetragen, die dem Gewöhnlichen Beifuß günstige Wuchsbedingen bescheren. An Sandwegen hätten wir vielerorts Heidevegetation, anstelle der durch den Wegschotter geförderten Beifuß-Gesellschaften.
Nichtsdestotrotz ist der Gewöhnliche Beifuß eine einheimische Art, die in früherer Zeit volksmedizinische Anwendung fand und noch heute als Gewürzpflanze in der Küche genutzt wird.  Die massenhaft vorhandenen, kleinen und unauffälligen Blütenkörbchen können bis zu 700.000 Samen pro Pflanze hervorbringen. Interessant ist in diesem Zusammenhang übrigens, dass sich innerhalb der Gattung Artemisia ein Übergang vollzieht von der Insektenbestäubung hin zur sekundären Windbestäubung. Man spricht hier von sekundärer Windbestäubung, weil die Insektenbestäubung in der Evolutionsgeschichte der Pflanzen die „modernere“ Form der Bestäubung ist. Die kleinen Blütenkörbe und deren massenhaftes Auftreten sind Teil dieser Entwicklung, zurück zur Windbestäubung.

Armoise commune (Artemisia vulgaris)

Dans la forêt du Palatinat, l’Armoise commune pousse surtout en bord des chemins. Naturellement, il en existerait beaucoup moins si les chemins sablonneux n’étaient pas comblés de graviers. Surtout le gravier de basalte que l’on utilise souvent dans le sud de la forêt du Palatinat, apporte au sol les valeurs nutritives dont l’Armoise a besoin pour se développer. Normalement, on verrait plus de végétation de lande sur les chemins sablonneux.Néanmoins, l’Armoise compte parmi les plantes locales et était utilisée autrefois comme médecine. Aujourd’hui, on s’en sert seulement dans la cuisine. Les petites fleurs nombreuses qu’on ne voit presque pas développent jusqu’à un maximum de 700.000 graines par plante. Il est intéressant d’observer au sein du genre d’Artemisia qu’il y a une transition au niveau de la pollinisation : de la pollinisation par les insectes (qui est la forme plus moderne concernant l’évolution) à la pollinisation aérienne secondaire. Les petites fleurs nombreuses font partie de ce développement, en retour à la pollinisation aérienne.

Kleine Bibernelle / Petit boucage (Pimpinella saxifraga)

Die Kleine Bibernelle ist ein Doldenblütler aus der Gruppe mit weißen Blüten und fehlenden Hüllblättern. Sie blüht im Pfälzerwald im Hochsommer bis in den Herbst hinein vor allem auf Magerwiesen und Magerweiden und ist hier bei gehäuftem Auftreten eine gute Zeigerpflanze für naturschutzfachlich bedeutendes, artenreiches Grünland und artenreiche Säume.
Die grundständigen ersten Blattaustriebe der Kleinen Bibernelle sind paarig einfach gefiedert, mit rundlich-eiförmigen stumpfen Fiederabschnitten und erinnern an die Blätter des Kleinen Wiesenknopfes (Sanguisorba minor). Wegen der Ähnlichkeit der Blätter beider Arten und weil beide als Salatbeigabe in der Küche Verwendung finden, wird der Wiesenknopf allgemein ebenfalls als Bibernelle bzw. Pimpinelle bezeichnet. Wir haben die beide heimischen Wiesenknopf-Arten in unserer Serie bereits vorgestellt.
Die Stängelblätter der Kleinen Bibernelle unterscheiden sich deutlich von ihren Grundblättern. Die Fiederblattabschnitte der Stängelblätter sind länglich, das gesamte Blatt im Umriss dreieckig. Spätestens, wenn diese Stängelblätter erscheinen sind Pimpinella und Sanguisorba nicht mehr miteinander zu verwechseln.

Petit boucage (Pimpinella saxifraga)

Le Petit boucage fait partie des ombellifères à fleurs blanches sans bractées. Sur les prés et pâturages maigres, il fleurit en plein été jusqu’en automne et est, au niveau de la protection de la nature, une plante indicative pour les sols riches en espèces variées. Les premières feuilles basales du Petit boucage sortent en paires et sont simplement branchues et de forme ovale ce qui les fait ressembler aux feuilles de la Pimprenelle (Sanguisorba minor). Les feuilles caulinaires se différencient clairement des feuilles basales : Les sections des feuilles caulinaires sont allongées, la feuille complète est triangulaire. Plus tard, quand ces feuilles se développement de ces feuilles, on ne peut plus confondre le Petit boucage avec la Pimprenelle.

Gewöhnliches Ferkelkraut / Porcelle enracinée (Hypochaeris radicata)

Das Gewöhnliche Ferkelkraut ist ein weiterer armblütiger, gelbblühender Korbblütler ohne Stängelblätter, den wir in unserer Serie vorstellen. Er ist in den Wiesen mittlerer Standorte im Pfälzerwald so häufig und zuverlässig vertreten, dass von Vegetationskundlern hier schon der Begriff Ferkelkraut-Glatthaferwiese für eine bestimmte charakteristische Ausprägung des Grünlandes gewählt wurde.
Seinen Namen hat das Kraut vermutlich wegen der derben, speckig glänzenden Blätter erhalten, die mit kräftigen Borstenhaaren locker übersät sind. Das erinnert etwas an die Borsten von Ferkeln. Die Blätter sind in einer grundständigen Rosette vereint, die dicht am Boden anliegt. Dadurch entziehen sie sich nicht nur dem Mähwerk, sondern auch dem Kuhmaul. Unter anderem das erklärt, weshalb das Ferkelkraut, das bereits im Frühsommer erstmals blüht, auch im Sommer und bis in den Herbst hinein auf Wiesen und Weide zur Blüte kommt. Immer dann, wenn die Wuchsbedingungen passen, auch nach der spätsommerlichen Hitzezeit (Hundstage), erholen sich die Blattrosetten recht schnell wieder und bilden bis in den Herbst hinein Blütentriebe aus.
Zum Keimen benötigt das Gewöhnliche Ferkelkraut offenen Boden, der auf Weiden viel zahlreicher ist als auf Wiesen. Vielleicht kommt der Name der Pflanze auch daher, weil man sie früher in manchen Gegenden als typische Art der Schweineweide ausmachte.

Porcelle enracinée (Hypochaeris radicata)

La Porcelle enracinée est une autre espèce pauciflore des Astéracées jaunes sans feuilles que nous vous présentons dans notre série. On la trouve régulièrement dans les prés des endroits de moyenne de la forêt du Palatinat et par ce fait elle est devenue une de leurs caractéristiques. Son nom vient probablement de ses feuilles solides, brillantes et crasseuses recouvertes des poils robustes. Tout cela ressemble aux poils des porcelets. Les feuilles sont unies en rosette basale et poussent au ras du sol. Pour cette raison, elles échappent à la fauche mais aussi aux gueules des vaches. Ce fait explique aussi que la Porcelle enracinée qui pousse sur les prés et pâturages commence sa floraison au début de l’été et la poursuit jusqu’en automne. Afin de germer, la Porcelle enracinée a besoin de jachères que l’on trouve plutôt sur les pâturages que dans les prés. Il est également possible qu’on ait nommé cette plante « Porcelle » parce qu’on la voyait sur les pâturages dey porcs.

Acker-Witwenblume / Knautie des champs (Knautia arvensis)

Die Acker-Witwenblume, die anders als ihr Name es vermuten lässt, bei uns vor allem eine Wiesenpflanze ist, hat eine relativ lange Blütezeit, die sich im Pfälzerwald von Ende Mai bis in den September erstreckt. Dort, wo Wiesen früh gemäht werden oder wo in kühleren Lagen der Aufwuchs verzögert ist, kommt die Acker-Witwenblume nicht mehr rechtzeitig vor der ersten Mahd zur Blüte. Sie kann dann aber zumindest an frischen Standorten nachwachsen und im August zur Blüte und Fruchtreife gelangen. Deshalb stellen wir die Art auch erst heute vor!
Die Acker-Witwenblume gehört zu den Kardengewächsen, ebenso wie die im Pfälzerwald verbreiteten Arten Wilde Karde (Dipsacus fullonum) und der bereits vorgestellte Gewöhnliche Teufelsabbiss (Succisa pratensis). Der Teufelsabbiss hat ovale ungeteilte Blätter, während die Acker-Witwenblume im mittleren Stängelabschnitt charakteristisch gefiederte, gegenständige Blätter besitzt.

Knautie des champs (Knautia arvensis)

Contrairement à son nom, la Knautie des champs pousse surtout dans les prairies et fleurit dans la forêt du Palatinat de fin mai jusqu’en septembre. Là, ou les prés sont tondus très tôt ou dans les endroits plus froids, la Knautie des champs n’arrive pas à fleurir avant la première fauche. Mais en août, elle a le temps de repousser et d’atteindre le mûrissement dans des endroits plus frais. C’est pour cette raison que nous vous présentons cette espèce seulement aujourd’hui. La Knautie des champs compte parmi les Dipsacacées ainsi que la Cardère sauvage (Dipsacus fullonum) que l’on trouve souvent dans la forêt du Palatinat et la Succise des prés (Succisa pratensis). Cette dernière a des feuilles ovales indivises pendant que celles de la Knautie des champs sont, dans la section moyenne, pennées et opposées.