Beifuß-Ambrosie, Beifußblättriges Traubenkraut / Ambroisie à feuilles d‘armoise (Ambrosia artemisiifolia)

Die Blütezeit der Beifuß-Ambrosie beginnt im Juli, im Pfälzerwald ist mit der Hauptblütezeit je nach Witterung zwischen Mitte August und Mitte September zu rechnen. Sehr zum Leidwesen einiger Mitmenschen, die auf den hochallergenen Pollen der Pflanze reagieren. Die aus Nordamerika eingeschleppte Art sorgt aufgrund ihres allergischen Potenzials (Pollenallergie und Kontaktallergie) regelmäßig für mediales Aufsehen. Durch Melde- und Bekämpfungskampagnen soll ihre weitere Ausbreitung hierzulande gehemmt werden.
Da die Beifuß-Ambrosie über Jahrzehnte als Samen im Boden überdauern kann, wird sie oft versehentlich durch Erdmaterial verschleppt und keimt dann vor allem auf Ruderalstandorten. Auch im Gebiet des Pfälzerwaldes gibt es immer wieder Vorkommen an Straßenrändern, in Sandgruben und auf Bauplätzen sowie auf Wildäsungsflächen und Getreideäckern. Kleinere Bestände werden oft aus Privatgärten gemeldet. Hier stammen die Ambrosia-Samen vermutlich aus verunreinigtem Vogelfutter.
Eine Verwechselungsart der Beifuß-Ambrosie ist ihr Namensvetter, der Gewöhnliche Beifuß (Artemisia vulgaris). Bei kurzer Betrachtung sind die beiden Arten aber leicht voneinander zu unterscheiden: Der Beifuß ist auf der Blattunterseide weiß-filzig, während bei der Ambrosie beide Blattseiten grün sind.

Ambroisie à feuilles d‘armoise (Ambrosia artemisiifolia)

Si la période de floraison de l’ambroisie commence en juillet, c’est entre la mi-août et mi-septembre, en fonction des conditions climatiques, que s’établit la période de floraison principale de cette plante dans les forêts du Palatinat. Et ceci au grand dam de nombreuses personnes, qui réagissent fortement face au pollen hautement allergène de cette plante. Cette espèce introduite en Europe depuis l’Amérique du Nord, suscite régulièrement l’attention des médias en raison de son haut potentiel allergène (allergie au pollen et allergie au contact de la plante). Les campagnes de prévention et de lutte contre l’espèce visent à limiter ou même empêcher la propagation de l’ambroisie dans le pays.
Les graines de l’ambroisie pouvant survivre des dizaines d’années en dormance dans le sol, cette espèce est souvent accidentellement transportée avec des matériaux de construction (terre, sable…) et se retrouvent à germer principalement sur des sites rudéraux. Dans la région des forêts du Palatinat, cette espèce apparaît aussi régulièrement, que ce soit au bord des routes, dans des sablières et sur des chantiers, ainsi que dans des pâturages sauvages et des champs de céréales. Des petites populations sont souvent signalées dans des jardins privés. Les graines de l’ambroisie trouvent probablement ici leur origine dans des mélanges « contaminés » de graines pour oiseaux.
Une des espèces que l’on pourrait confondre avec l’ambroisie à feuilles d’armoise est l’armoise commune (Artemisia vulgaris). Cependant si l’on se penche de plus près sur ces deux espèces, elles ne sont pas si difficiles à différencier : la surface inférieure des feuilles de l’armoise commune est blanche et « feutrée » tandis que les deux surfaces des feuilles d’ambroisie sont vertes !