Einjähriger Feinstrahl / Vergerette annuelle (Erigeron annuus)

Die weißen Zungenblüten des Einjährigen Feinstrahls sind extrem schmal. Sie umranden die gelben Röhrenblüten so, wie wir das z.B. von der Echte Kamille oder der Margarite kennen. Deren Zungenblüten sind allerdings deutlich breiter und nicht so zahlreich. Der Einjährige Feinstrahl ist somit relativ einfach zu erkennen. Im Pfälzerwald gibt es kaum Verwechslungsmöglichkeiten. Seine Blütezeit erstreckt sich von Juni bis September, wobei er im August besonders auffällig ist, an Straßen- und Wegböschungen, auf extensiv genutztem Grünland und besonders oft auf Streuobstwiesen, im Halbschatten der Bäume.
Ursprünglich kam die Art in Nordamerika vor und wurde bereits im 18. Jahrhundert als Zierpflanze nach Europa eingeführt und hat sich seither in der offenen Kulturlandschaft stark ausgebreitet. Sie gilt als eingebürgert, gesellt sich aber auf Ruderalflächen, z.B. auf geschotterten Plätzen, häufig unter Neophyten, namentlich zu unseren bereits vorgestellten amerikanischen Goldruten-Arten. Während diese im Pfälzerwald auch von zahlreichen Tagfalter-Arten zur Nektaraufnahme angeflogen werden, trifft man an den Blüten des Einjährigen Feinstrahls nach unserer Erkenntnis hauptsächlich Schwebfliegen und Bienen an. Vergleichende Untersuchungen diesbezüglich wären sicherlich interessant und aufschlussreich.

Vergerette annuelle (Erigeron annuus)

Les pétales de la Vergerette annuelle sont très élancés. Ils encadrent la fleur tubuleuse jaune comme on le connait de la Camomille sauvage. Les pétales de celle-ci sont nettement plus larges et moins nombreux. Par ce fait, il est facile de distinguer ces deux espèces. Dans la forêt du Palatinat, il pratiquement impossible de la confondre avec d’autres. Sa floraison se s’étend de juin à septembre.  Au cours de celle-ci on la voit surtout en août sur les talus des chemins et des routes, dans les prairies utilisées extensivement et surtout dans les endroits ombragés des vergers. Cette plante originaire de d’Amérique du Nord a été introduite en 18ème siècle comme plante ornementale et s’est répandue au cours des années dans les paysages de cultures. Elle compte parmi les espèces établies et se retrouve sur les espaces rudéraux, comme p. ex. des gravières, avec des néophytes comme la Verge d’or. Pendant que cette dernière sert à beaucoup de papillons comme plante nectarifère, la Vergerette annuelle est, selon notre observation, surtout appréciée par les abeilles et les syrphides. Il serait intéressant de comparer et examiner ce fait par des études comparatives.